vendredi 29 février 2008

Est bu le navire de liqueur



Le poème a été traduit par Babelfish du français vers l'anglais, de l'anglais vers le chinois et du chinois vers l'anglais et enfin de l'anglais vers le français (je ne corrige que la ponctuation) :

Quand j'obtiens vers le bas du fleuve indifférent,
j'ai senti, ai guidé par la Tour de bateau :
A hurlé le rouge de peau, pour les adopter est le but,
est cloué rapide, nu par le poteau de couleur.
Je suis ; tout sert d' équipier,
le maïs bleu de barbelure de Porteur Bouddha
ou les cottons anglais - qui ne prête pas l'attention.
Quand a accompli ces derniers voix avec la tour de bateau de mine,
le fleuve laisse l'endroit qu'y descend moi pour vouloir.
Dans des clapotements de colère de marée,
I, un autre hiver, le cerveau sourd d'enfant de rapport,
je cours ! Et les débuts la péninsule n'a pas accepté
la victoire de tohu-bohus.
Le donner l' assaut à a béni ma mer pour se réveiller.
L'allumeur de cigarette me compare pour vous comparer à s'appeler la victime,
danse de dix nuits dans l'inondation arrêtant le rouleur éternel,
n'a pas regretté l'oeil par la lanterne de démenti !


En revanche, des réitération Français-Anglais plusieurs fois ne donnent pas auant d'amusement.

Tandis que j'approchais le fond des fleuves impassibles,
j'ai senti davantage guidé par bateau-tourne :
L'hurlement des Peau-Rouges les avait pris pour des cibles,
puis alors alors eus cloué leur nues avec les poteaux de couleurs.
J'étais insousiant de tout est utilisé avec lui en tant qu'équipe-membre flamand,
les grains du porteur ou les machines anglaises du tricotage.
Quand avec le mon bateau-tourne a fini ces vacarmes,
les fleuves laissent le congé avec moi au fond où j'ai voulu.

1 commentaire:

Anonyme a dit…
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